A l’occasion de la tenue de Batimat, les visiteurs des stands de Thiebautech, Ecodis, Novoferm, AkzoNobel Interpon, Landolt, Horizal et Ermetika ont pu tester leur connaissances sur le BIM, et bénéficier d’explications concrètes sur la base des démarches BIM des industriels.
Nous avons rencontré de nombreux profils (installateurs, maîtres d’ouvrage, architectes, etc.) et, si parfois, le BIM n’évoquait pas grand chose dans l’esprit de certains professionnels, la majorité de nos interlocuteurs était tout à fait informée de cette nouvelle méthode de travail et l’avait déjà adoptée.
Les visiteurs désireux d’en savoir plus sur le BIM et de découvrir des démonstrations étaient invités à se rendre au Hall 5B où se tenait l’espace Bâtiment du Futur – soutenu par le Plan Transition Numérique dans le Bâtiment (PTNB) mis en place par le Gouvernement – au cœur du secteur Informatique et Nouvelles Technologies. Les stands des éditeurs de logiciels BIM, par exemple, présentaient des démonstrations sur la base de maquettes numériques de projets réels.
Dans le même espace, MediaConstruct proposait des Ateliers BIM lors desquels un intervenant présentait son projet durant une vingtaine de minute. L’espace était conçu de façon à ce que l’intervenant puisse continuer le débat avec son auditoire. Alain Birault – Directeur Prescription nationale – a pu présenter son point de vue d’industriel sur le BIM et raconter comment Polantis l’a accompagné dans la modélisation des systèmes Lafarge. Un article sur son intervention est disponible sur le site de Batiactu, cliquez ici pour le découvrir.
Polantis se félicite de cette belle édition de Batimat et a apprécié d’échanger avec les industriels mais aussi avec ses utilisateurs : vous rencontrer nous permet de nous améliorer toujours plus.
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RC-lux a développé en 2009 une technologie innovante, brevetée et primée par le Ministère de la Recherche, qui permet de délivrer à partir de l’eau du réseau une eau conforme en permanence aux recommandations bactériologiques du Ministère de la Santé pour les fontaines réfrigérantes.
Les fontaines Behring, c’est donc un design d’exception et la garantie d’une eau irréprochable. Se désaltérer devient un vrai plaisir ! Pour les clients de l’architecte en charge du projet, c’est montrer que l’accueil et le bien-être de leurs collaborateurs ou de leur public (client, etc.) sont au cœur de leurs préoccupations.
Les fontaines Behring répondent à trois tendances fortes sur le marché :
Fontaine d’intérieur murale semi-encastrée
Avec le concours de Polantis, Behring permet aux prescripteurs de proposer cette technologie exclusive dans l’ensemble de leurs projets CAO et BIM. Deux modèles de fontaines ont été modélisés :
Les deux modèles de fontaines sont déclinables en plusieurs couleurs pour une adaptation parfaite à tous les types et styles de concepts. Dans le même esprit, Behring propose des modèles encastrées, semi-intégrées (avec une forte valeur d’image) ou en îlot.
En apportant confort, sécurité, design et budget maîtrisé, cette génération de fontaines se positionne comme le nouveau standard des clients exigeants.
Les fontaines Behring sont disponibles sur le portail de Polantis.
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Polantis : Comment vous êtes-vous intéressé au BIM, quel a été votre parcours vers cette méthode de travail ?
Clément Valente : En fait, je pense que j’étais prêt pour le BIM avant même qu’il ne soit désigné par cet acronyme ! Je n’ai donc pas l’impression d’être tombé dans le BIM mais plutôt de suivre une évolution naturelle et nécessaire du secteur de la construction. Je me rappelle de mon sentiment principal lors de mes premières années professionnelles : le BTP, quel secteur approximatif ! C’était dingue ! Alors, motivé par mon envie d’optimiser les procédés constructifs, les méthodes m’ont permis de contribuer aux succès de plusieurs grandes opérations de construction. J’ai intégré à mes fonctions ce qu’on pourrait qualifier de « prémices d’une utilisation du BIM » dès mes débuts dans la fonction en établissant fréquemment des documents de méthodes en 3D, des planifications 4D et autres exploitations d’une maquette numérique en entreprise de construction. Finalement, j’observe le BIM se répandre autour de moi et prendre une dimension titanesque avec le sentiment qu’au fond, on n’invente pas grand-chose !
Quels sont les enjeux du BIM pour les industriels, selon vous ?
Qui dit BIM dit « objet 3D intelligent ». On parle d’objets « paramétriques » dans le jargon de la maquette numérique. La modélisation d’un ouvrage en 3D devient presque aussi simple qu’un jeu de Légo grâce aux logiciels de maquette numérique, à la condition que les pièces de Légo existent ! Vous n’allez tout de même pas les fabriquer vous-même ! Un architecte est comme n’importe quel chef d’entreprise, il doit justifier d’une rentabilité. Le temps passé à modéliser une maquette lui coûte. Alors si des banques d’objets paramétriques telles que Polantis lui fournissent des solutions clé en main qui, de surcroit, lui offrent la garantie que les objets employés sont parfaitement conformes aux produits réels des fournisseurs en intégrant toutes leurs données techniques, évidement qu’ils ne vont pas se priver de leur usage.
Un architecte est certes un concepteur, mais il est aussi de fait prescripteur. Même si imposer une marque précise de matériau au constructeur n’est souvent pas envisageable, l’emploi d’objets paramétriques répondant à un catalogue fournisseur va très souvent enfermer le constructeur dans un choix de produits naturellement restreint par l’accumulation des caractéristiques techniques devant être respectées. Si bien qu’à la fin le nom du fournisseur à l’origine de l’objet paramétrique employé ressort comme une évidence aux yeux du constructeur, et donc sous forme de commande dans le portefeuille du fournisseur !
Du côté des fournisseurs, l’enjeu va donc bien au-delà du fait de suivre une mode. On ne parle pas ici d’une démarche marketing dérisoire comparable à celle d’offrir à l’architecte du coin un « joli mug tatoué du logo de la marque » pour Noël ! L’enjeu pour les fournisseurs est réel et extrêmement important, et lancer une démarche de transcription de leurs catalogues en objets BIM est un challenge à relever très rapidement, sous peine de rester sur le quai de la gare à regarder le train partir…
Et plus globalement, quelle est votre vision du BIM en France ?
Je ne suis pas prédicateur, mais je pense que la France est prête pour le BIM : le gouvernement est même plutôt moteur en la matière. La médiatisation assez large des notions de « transition numérique » à un niveau global, maintenant déclinée en un « plan de transition numérique du bâtiment » produisent leurs effets. Le nombre de recherches en lien avec le BIM suit une évolution constante à chacune de ces annonces. Les majors de la construction sont toutes en train de former leurs collaborateurs au BIM et d’investir dans des parcs logiciels nouveaux, entrainant avec eux les bureaux d’études et l’ensemble de leurs associés. Le quotidien actuel des constructeurs est jalonné de remises d’offres de prix à marge nulle voire négative. Alors certes, financièrement les investissements sont difficiles à encaisser, mais contextuellement l’envie d’innover et de se démarquer, ne serait-ce que commercialement, est un vrai levier de motivation. Et en cela le BIM constitue une réponse idéale. C’est à mon sens ce phénomène qui marque le point de non-retour que nous sommes en train de franchir : si les constructeurs adoptent tous une démarche BIM, toute la chaine sera contrainte d’en faire autant, en commençant par les concepteurs pour finalement atteindre les exploitants d’ouvrages et les Facility Managers. Un seul point vient nuancer à mes yeux ce tableau : 9 entreprises sur 10 ont moins de 10 salariés. Et ça, c’est un vrai problème. Comment absorber des investissements aussi conséquents dans ces conditions ? L’externalisation sous forme d’achat de « prestations BIM » a un bel avenir devant lui ! Je pense donc qu’au cours de la prochaine décennie beaucoup de choses vont changer dans le secteur de la construction en France, et la granulométrie actuelle des entreprises va constituer un vrai frein dans l’adoption du processus BIM.
Et au niveau mondial, qu’observez-vous ?
Au niveau mondial, les indicateurs sont tous au vert : chaque année plusieurs pays rejoignent la tendance globale d’imposition de l’emploi d’une maquette numérique pour les marchés publics d’État. Si les contours de ces obligations varient, la forme reste similaire et finalement tout le monde se retrouve autour de schémas communs. Le format IFC, désormais devenu une norme ISO, donc mondiale et à application volontaire, illustre bien qu’on s’oriente vers une quasi-uniformisation des pratiques. Cette concurrence entre les pays est à mon sens très bénéfique et exacerbe la motivation individuelle des États. Lorsque la bonne odeur du barbecue de votre voisin vient jusqu’à vos narines, vous avez subitement envie d’en faire de même ! Chaque pays surveille son voisin de la même manière. Certes, à la fin c’est le boucher qui empoche le plus, mais il n’empêche que tout le monde y a trouvé son compte !
Pour en revenir à votre ouvrage, quelle est la principale raison qui vous a poussé à écrire sur le BIM ?
Au travers de mon livre « BIM & BTP / Construire grâce à la maquette numérique » je souhaite offrir une vision large et motivante de ce qu’est le BIM et surtout des usages concrets qui peuvent en être fait à tous les niveaux, du concepteur au constructeur, jusqu’à l’exploitant. Il est important je trouve de gommer cette étiquette de « sujet nébuleux » qui colle à la peau du BIM lorsqu’on en parle avec les professionnels de terrain, et j’espère pouvoir y contribuer au travers de ce livre.
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Le 16 septembre 2015 au soir, le jury des BIM d’Or a désigné les lauréats de chaque catégorie et les a récompensés par un BIM d’Argent. Le très convoité BIM d’Or, lui, a été remporté par l’agence Renzo Piano pour l’ENS Cachan. C’est dans la salle bondée de l’Élysées Biarritz que le monde de la construction s’était réuni pour assister à la cérémonie : 300 personnes étaient présentes.
Dans la catégorie Industriel, c’est Siplast-Icopal qui a reçu un BIM d’Argent pour son système paramétrique d’étanchéité de toiture. Il s’agit du premier projet récompensé dans la catégorie « Industriel » nouvellement créée. Julie Nicolas (journaliste au Moniteur) a expliqué le choix du jury en 3 mots : il s’agissait d’un projet complet, pragmatique et intelligent.
Éric Lainé (Directeur de la prescription de Siplast), très ému, est monté sur scène pour recevoir son trophée et a remercié son équipe ainsi que celle de Polantis pour cette belle réussite. Cette démarche BIM que Siplast-Icopal a entamé en novembre 2014 avec Polantis a été riche en apprentissage, elle a été, pour lui, l’occasion de connaître mieux son métier d’industriel et son produit.
Polantis félicite Siplast-Icopal pour cette belle victoire et vous propose de découvrir une interview d’Ingrid Soulanges, architecte en charge de ce projet.
Quelle a été la teneur de vos premiers échanges avec Siplast-Icopal, comment avez-vous abordé leur demande ?
Éric Lainé est venu me voir avec des fascicules et des schémas qui étaient malheureusement plus informatifs que techniques. Cependant, il m’a aussi proposé des échantillons de ses produits et m’a accompagnée dans mon travail : il dessinait le système couche par couche pour que je saisisse sa cohérence et que je comprenne comment tout cela agissait ensemble et fonctionnait. J’avais aussi comme objectif de comprendre comment le système se positionnait sur une toiture et quels étaient ses différents points singuliers.
Aviez-vous déja travaillé sur ce genre de système auparavant ? Saviez-vous dès le début comment vous vouliez le modéliser ?
Je n’avais jamais travaillé sur des systèmes d’étanchéité de toiture : cette nouveauté était un vrai challenge pour moi car, très vite, j’ai perçu la complexité d’intégration d’un tel produit dans une maquette numérique. Sur la question de la représentativité notamment, j’ai constaté les limites de Revit. La 3D ne permettait pas de représenter les points singuliers et il a fallu repasser à la 2D : les deux étant complémentaires.
Selon moi, tout l’enjeu de cette modélisation était de traduire l’intelligence du système. Visuellement, il n’est pas complexe mais son intelligence repose sur deux choses : l’intégration de l’information et la façon dont il s’importe sur la maquette numérique. Nous ne nous sommes pas contentés de représenter le produit, nous sommes allés plus loin en le rendant totalement manipulable.
Est-ce que ce projet a changé votre façon de travailler ?
Oui : Éric m’a appris à ordonner l’information du détail technique pour qu’elle soit lisible par l’architecte et sur le chantier. Nous n’avons jamais perdu de vue notre objectif de servir l’architecte utilisateur.
Retrouvez l’article du Moniteur sur le palmarès complet des BIM d’Or 2015 publié le 16/09 sur lemoniteur.fr ainsi que la vidéo de la remise des prix publiée le 17/09 sur le moniteur.fr.
Retrouvez ici le témoignage d’Éric Lainé, Directeur de la prescription de Siplast
Retrouvez ici l’article du blog de Polantis sur la réalisation des objets de Siplast
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Interview d’Itaï Cellier, fondateur et PDG de Polantis
De nombreux évènement liés au BIM voient le jour et ont pour objectif de distinguer les projets les plus remarquables. Le Groupe Moniteur a ainsi lancé les BIM d’Or en 2014.
Fin août, le Moniteur a révélé la liste des 31 projets sélectionnés pour l’édition 2015 et c’est le 16 septembre que nous découvrirons les nouveaux lauréats des BIM d’Or.
Preuve du succès de la 1ère édition : il y avait l’année dernière 5 catégories et cette année, il faudra compter avec pas moins de 10 catégories.
La catégorie « Industriel », nouvellement créée, souligne la nécessité que les fabricants des produits de la construction s’engagent dans la démarche BIM : c’est eux qui sont en amont de tous les projets de construction.
Dans la catégorie « Industriel », les projets de Saint-Gobain Glasssolutions France, Vinci Construction France et Siplast-Icopal ont été retenus. Polantis a eu le plaisir de modéliser les systèmes paramétriques d’étanchéité de toiture de Siplast-Icopal et d’ainsi prendre part à l’aventure BIM d’Or 2015 : nous leur apportons donc tout notre soutien.
Retrouvez ici le témoignage d’Éric Lainé, Directeur de la prescription de Siplast
Retrouvez ici l’article du blog de Polantis sur la réalisation des objets de Siplast
Les 10 projets gagnants recevront un BIM d’argent et le BIM d’or sera proposé à celui, parmi les lauréats, dont le projet est le plus remarquable.
Bonne chance à tous !
Édit du 18/09 : Félicitation à Siplast-Icopal qui est lauréat de la catégorie « Industriel » : retrouvez l’interview de l’architecte de Polantis en charge du projet.
Retrouvez l’article BIM d’Or 2015 : découvrez les projets en compétition publié le 28/08 sur lemoniteur.fr
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Interview d’Itaï Cellier, fondateur et PDG de Polantis
Nous sommes fiers d’annoncer l’inscription de Jeremy, Architecte à Bristol en Angleterre, sur Polantis.com le 15 juin 2015. Jeremy est le cent-millième utilisateur inscrit !
Lancé en France en 2008, Polantis est la plate-forme préférée des Architectes et des Fabricants.
Avec plus de 100 792 Architectes et prescripteurs inscrits dans 164 pays, des dizaines de milliers d’objets réalisés et plus de 26 formats de logiciels supportés, Polantis est indéniablement le leader mondial de la création de contenu CAO et BIM.
Une mission première : la qualité.
Les Architectes employés par Polantis mettent à disposition de leurs confrères des objets d’une grande qualité, tant au niveau du rendu que de la fidélité à la réalité et de la mise en œuvre. Ce degré d’exigence satisfait pleinement les prescripteurs avec qui nous entretenons une relation privilégiée. Les prescripteurs profitent des catalogues CAO et BIM mis à leur disposition de manière simple, rapide et surtout gratuite.
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Utilisateurs de Polantis, qui sont-ils ? Téléchargements par profession en 2015
Les fabricants choisissent Polantis pour la même raison : ils ont la garantie de satisfaire leurs prescripteurs et de voir leurs produits intégrés à de nombreux projets. Être présent sur Polantis, c’est l’opportunité d’acquérir de nouveaux professionnels du bâtiment et de fidéliser ceux qui sont déjà acquis, c’est aussi l’assurance de véhiculer une image de marque innovante, qui a pleinement conscience des besoins de la maîtrise d’œuvre.
Le BIM révolutionne les pratiques.
En France, la Fondation Louis Vuitton, l’hôpital d’Ajaccio, le Centre Hospitalier de Marne-la-Vallée, … sont parmi les chantiers les plus connus qui ont été menés en BIM. Ces projets d’envergure, excitants et novateurs attirent tous les regards.
Polantis donne l’opportunité aux acteurs du secteur de la construction de travailler aussi en BIM, pour être plus performants. Le BTP connaît aujourd’hui une révolution et il ne faut pas passer à côté !
Polantis, un acteur incontournable du BIM.
Aujourd’hui, Jeremy – comme des milliers d’autres utilisateurs à travers le monde – a le réflexe d’aller chercher sur Polantis les objets qu’il intégrera dans ses projets. Nous sommes fiers d’avoir gagné sa confiance !
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Interview d’Itaï Cellier, fondateur et PDG de Polantis
L’AIMCC, l’Association des Industriels de produits de Construction lance sa première conférence entièrement dédiée au BIM. Cette conférence s’adresse en priorité aux industriels pour permettre de :
• Comprendre les modalités d’entrées de la filière construction dans l’ère numérique
• Saisir le rôle clé de l’industrie pour alimenter le BIM et les autres échanges
• Appréhender le dispositif normatif mis en place sous l’impulsion de l’AIMCC pour encadrer la définition et la gestion des propriétés produits entrant dans la construction et pour garantir leur qualité numérique dans les usages logiciels métiers et autres bases de données
• Préparer leur participation à la mise en place et au fonctionnement des collèges d’experts
• Intégrer d’emblée, en cohérence avec la dimension internationale ISO (IFC), les données règlementaires européennes harmonisées (marquage CE…), les données règlementaires nationales (thermique, acoustique, sécurité…) et enfin les données volontaires nationales qui caractérisent les produits
• Connaître les modalités de portage et d’application au niveau européen (CEN) d’une méthodologie commune attendue, reconnue et partagée
• Prendre connaissance des modalités d’accompagnement du dispositif industriel par le Plan national pour la transition numérique dans le bâtiment
M. CELLIER, le fondateur de Polantis interviendra lors de la Table ronde n° 1 – « USAGES – L’utilisation de l’information produits dans les outils numériques » et partagera son savoir et les bonnes pratiques pour la création des catalogues de produits BIM à 15h40. La table ronde sera animée par M. Laurent Ortas – Responsable Nouvelles technologies de la prescription chez Saint Gobain et président commission BIM à l’AIMCC et AFNOR.
Pour s’inscrire à la conférence BIM de l’AIMCC:
Inscription individuelle ou Inscriptions collectives groupées vous pouvez également consulter le program détaillé de la conférence (pdf)
Tout d’abord, il est essentiel de comprendre ce que c’est que le BIM. Le BIM, ou – Building Information Modeling – est un nouveau processus de travail qui permet à l’ensemble des acteurs du marché de la construction de mieux communiquer entre eux au travers de ce que l’on appelle une “maquette numérique”. La maquette numérique est en effet un modèle 3D du bâtiment ou structure à construire. Cette maquette contient des composants “intelligents” (des objets 3D représentants des portes, des fenêtres, des revêtements de sol, etc.) qui contiennent des informations essentielles. Par exemple, une fenêtre contiendra non seulement toutes ses dimensions possibles en fonction du ratio longueur / hauteur pouvant être fabriquées mais aussi son poids, ses couleurs, ses matériaux, les coordonnées et logo du fabricant, les normes (NF, CE) les performances thermiques etc. Une maquette numérique est effectivement constituée de centaines (voir de milliers) de tels objets contenant de l’information.
Les logiciels BIM peuvent organiser cette information de façon utile et aussi faire en sorte que ces objets puissent interagir entre eux et influencer l’ensemble du projet. Par exemple, un escalier en colimaçon (objet BIM en 3D) disposé entre deux dalles de béton (autres objets BIM en 3D) aura des marches ajoutées automatiquement (ainsi qu’un bout de rambarde) lorsque l’écartement entre les dalles augmentera. Un autre grand avantage de la maquette numérique est la “détection des conflits”. En effet, tous les composants (les objets 3D BIM) de la maquette interagissent entre eux et ils sont “conscients” par intelligence artificielle les uns des autres. Une maquette numérique bien renseignée diminue à 0% les conflits d’exécution qui peuvent coûter très cher sur le chantier. (Par exemple : un parking construit sur l’emplacement d’un égout, des tubes d’air conditionnée qui passent par une installation électrique, etc.) Pour plus d’informations, et notamment pour bien comprendre ce que signifie le BIM pour fabricants de produits – lisez cet article sur le BIM. Il est aussi important de bien comprendre les atouts du BIM.
Comprendre qu’est-ce que le BIM n’est pas suffisant. Vous devrez aussi vous documenter sur les pratiques du BIM dans votre secteur d’activité. La meilleure façon de comprendre comment votre secteur profite du BIM est de s’exposer aux témoignages de ceux qui l’ont déjà fait. En effet, le BIM existe depuis suffisamment longtemps pour ne plus être du domaine des « Adopteurs précoces » (« Early Adopters ») dans la plupart des secteurs du bâtiment concernés, et il est aujourd’hui du domaine des pragmatistes de la majorité précoce (« Early majority ») : Ce qui signifie qu’il y a pas mal de professionnels qui ont déjà implanté un service BIM au sein de leur société ou qui ont fait appel à des prestataires de service. Albert Einstein disait que « La seule source de connaissance est l’expérience » et lorsqu’il s’agit de l’expérience des autres, les « frais de scolarité » ne sont pas trop cher… À condition de bien en tirer les leçons. Il se peut que dans votre domaine d’activité, vous soyez encore des innovants ou des adopteurs précoces. Il y a beaucoup d’avantages à en être lorsque l’on sait déjà que le BIM est le nouveau standard dans le monde. Profitez-en! On trouve aujourd’hui peu de sites internet et de blogs fiables et neutres dédiés au BIM. Il existe aussi quelques groupes Linked-in animés par des professionnels du BIM où vous pouvez poser des questions et vous renseigner sur les bonnes pratiques.
Comme vous avez pu le constater, le BIM est quelque chose d’assez complexe. Surtout de nos jours. En effet, il y a tellement d’avis, d’écoles et de textes (parfois contradictoires) que l’on peut entendre tout et n’importe quoi sur le BIM. Comme toute innovation qui prend rapidement, c’est un peu le « wild west ». Cela est dû à un grand intérêt d’un très grand nombre qui voient dans le BIM une opportunité pour faire fortune ou gagner de l’influence. Le BIM c’est le nouveau standard dans le monde de la construction qui n’est pas encore trop régulé et si jamais il le devient, on ne sait pas encore par qui il le sera. Car le BIM n’appartient à personne. C’est une méthode de travail et un état d’esprit. Comment savoir alors quelle est la meilleure pratique du BIM pour vous et votre entreprise ? Le mieux est de se faire conseiller par un bon prestataire. Nous n’allons pas vous faire une liste ici des experts BIM et leur domaines d’expertises car nous serions tout de suite accusés de favoritisme mais nous pouvons vous donner quelques critères pour bien choisir votre expert BIM pour une prestation de conseil:
Nous estimons qu’il faut au moins 15 heures de consulting pour un dirigeant ou décideur « novice » pour pouvoir définir une stratégie BIM pour son entreprise. Comme dans tout domaine, les bons experts sont très sollicités et les prix sont en conséquence.
Comment utiliser le BIM pour augmenter son chiffre d’affaire ? Telle est la question que vous devriez vous poser. Et si vous avez su choisir un bon expert BIM il pourra surement vous aider à mettre en place un plan détaillé d’exécution pour atteindre vos objectifs. Il faut comprendre certaines choses pour bien mettre en place une bonne stratégie BIM:
Le BIM est une chose très évolutive. Lorsque votre entreprise décide qu’il est temps d’investir sérieusement dans une démarche BIM, il serait peut être intéressant de trouver un professionnel qui pourra gérer le BIM chez vous. Ça ne sera pas une chose facile. Les [bons] experts BIM sont encore rares de nos jours mais dans l’avenir et grâce à des formations spécialisées, nous sommes amenés à croire qu’il y aura de plus en plus de professionnels qui pourront vous aider à déployer votre stratégie BIM. Des architectes avec une solide maîtrise d’un logiciel BIM sont de bons candidats mais il est assez difficile de les recruter pour un travail qui est par nature très technique et beaucoup moins « créatif » que la conception architecturale dans les agences. Les BIM managers peuvent s’avérer donc assez coûteux, se faire bien conseiller avant d’en engager un est donc primordiale.
Un BIM manager dans une agence d’architecture déploie une méthodologie et une pratique opérationnelle du BIM au sein de l’agence. Il est responsable de la création d’une charte graphique, de la gestion des bibliothèques d’objets BIM, de la formation du personnel, etc. Chez les industriels et autres PME, le rôle du BIM manager est plus orienté vers le marketing opérationnel et le « service avant vente », à savoir:
En somme, il s’agit d’un coordinateur entre le marketing, le service prescription et le bureau d’étude technique. Un BIM manager pour un fabricant doit avoir une profonde compréhension du travail de l’architecte sans nécessairement en être un. C’est un nouveau métier qui deviendra rapidement incontournable.
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Des remarques? Des questions? Posez les dans les commentaires!
Un des objectifs de la réforme BIM en Grande Bretagne (la plus grande réforme Européenne de ce type à ce jour) est d’arriver à une économie de 20% sur la réalisation des projets de construction dans le marché public. (Source). Cet objectif de réduction des coûts se répète dans beaucoup de discours officiels des pays membres de l’EU et est à priori basé sur une étude de la Commission Européenne datant de 2012 selon laquelle: « les entités publiques qui ont déjà mis en œuvre des solutions d’appels d’offres dématérialisées enregistrent des économies comprises entre 5 % et 20 % de leurs dépenses d’achat. »
Comme nous allons l’exposer ci-dessous, le BIM est non seulement profitable à la Maitrise d’Ouvrage Publique, mais aussi à l’ensemble du marché du BTP et ses acteurs.
20% peut paraître un grand nombre juste pour un procédé géré par un logiciel mais il ne faut pas oublier que le BIM est bien plus qu’un logiciel. C’est une méthode de travail globale qui a déjà fait ses preuves. En principe, le bon usage des méthodes de modélisation 3D par des architectes bien instruits peut déjà s’avérer très rentable pour les maîtres d’ouvrage.
Le ratio “1:10:100” est une règle connue dans le monde des affaires et notamment dans le domaine des gestions et prévention des risques. Ce ratio, s’applique parfaitement dans le cadre de la construction de tout projet immobilier. Dans ce cas il s’agit respectivement de – Conception : Construction : Opération – où les erreurs et problèmes gérés lors de la conception coûtent beaucoup moins cher à corriger que si elles devaient être corrigées lors de la construction ou pire encore – après que le bâtiment ait été livré et qu’il soit en cours d’opération. Comme l’utilisation d’une méthode BIM permet des modifications rapides et la gestion et prévention des conflits, le danger des défauts de construction est presque complètement écarté. Par exemple, un poteau mal dimensionné dans le parking d’un bâtiment clignotera en rouge dans le logiciel BIM et sera remplacé ou épaissi par l’architecte en quelques secondes (ou quelques heures si l’avis du BET est nécessaire) mais coûtera 10 fois plus cher à remplacer ou renforcer en cours de chantier et pourra coûter 100 plus cher (en argent et en vie!) s’il venait à s’écrouler après la livraison du bâtiment.
Sur le plan de la gestion du patrimoine immobilier pour les maîtres d’ouvrages publics, les livrables BIM permettent de faire des requêtes nécessaires au groupement des achats et cycles des travaux de maintenance. Par exemple : une maquette numérique pourra renseigner le gestionnaire de patrimoine sur la quantité et type d’ampoules à changer, la surface en m² à peindre au bout de combien temps etc.
Une maquette numérique BIM bien construite permet d’apporter des changements pendant la conception d’un projet beaucoup plus rapidement qu’avec des méthodes 2D / 3D traditionnelles. Dans un projet de construction dans le cadre d’un marché public en France la mission officielle de l’architecte consiste à rendre pas moins de 3 fois son projet pour approbation avant le dépôt du permis de construire (Missions ESQ; APS et APD). À chaque instance de rendu l’architecte apporte des changements à son projet. Grâce au BIM ces changements peuvent s’effectuer souvent très rapidement car des milliers des petites tâches fastidieuses : le calcul des charges tributaires, la résistance des matériaux, ou de simple (re)calcul des marches d’un escalier en vu du changement des hauteurs des niveaux (très courant) sont réduites à quelques secondes par l’usage d’un logiciel BIM.
La réalisation des catalogues d’objets BIM qui peuvent s’intégrer dans une maquette numérique est très profitable pour les fabricants. En effet ce sont les fabricants qui profitent du BIM le plus car ces objets en 3D portent non seulement l’image et l’information morphologique du produit (la forme, la couleur, les matériaux) mais aussi les informations liées à leurs dimensions, normes, ou toute autre information que le fabricant souhaite véhiculer vers l’ensemble de la chaîne de production du bâtiment. La réalisation et l’acheminement des catalogues numériques reste moins onéreuse que la réalisation des catalogues papier. Cela réduit aussi considérablement les coûts liés à la fabrication et à l’acheminement des échantillons pour les prescripteurs. En somme, il s’agit d’un moyen très efficace de communication entre les fabricants et l’ensemble des acteurs du marché de la construction.
Un des atouts majeurs d’une méthode BIM est la pré-configuration et la préfabrication qui ont tendance à réduire considérablement les dépenses d’un chantier donné rien que part le fait qu’ils permettent d’assembler des éléments de construction en dehors du chantier. Il est connu que le rapport d’efficacité de la préfabrication est 1/7, c’est à dire une journée en usine vaut 7 jours sur le chantier. Fabriquer des éléments de construction en usine (par exemple – des escaliers en béton, des salles de bains intégrables, des dalles de support précontraintes…) plutôt que sur le chantier souvent mal adapté et dangereux est très rentable non seulement par les coûts liés à la fabrication de l’élément même mais aussi en vie humaine. Selon les rapports de la “Health and Safety Executive” en Grande Bretagne, en 2007 il y a eu 84 décès sur les chantiers Britanniques et 7,857 blessures nécessitant 3 jours de congés-maladie, le HSE a également condamné 339 directeurs de chantiers à des amendes d’un montant moyen de 9,096 livres… La planification avec une méthode BIM permet de réduire davantage ces chiffres car le BIM est particulièrement bien adapté à la préfabrication étant donné que la plupart des conflits possibles sur le chantier ont été déjà gérés par le logiciel.
Un configurateur 3D est un logiciel qui permet de configurer les dimensions et paramètres d’un produit ou d’un ensemble de produits qui constituent un système. Ces produits doivent être paramétriques – C’est à dire – Ils doivent avoir plusieurs dimensions ou paramètres possible, par exemple – un type de fenêtre qui peut avoir une dimension de 1,2m X 1,8m avec une poignée ronde mais qui peut aussi exister avec les dimensions 1,4m X 2,1m avec poignée ovale. Un configurateur permettra en premier lieu de visualiser le produit mais aussi de donner d’autres renseignements aux utilisateurs, comme le prix, les normes associées, le type de support nécessaire à l’intégration etc. Lorsqu’il s’agit de placer plusieurs produits d’une même marque dans un espace 3D ou 2D il ne s’agit pas d’un configurateur mais d’un planner 3D (ou « planeur 3D »).
Avant de s’engager sur une solution du type configurateur 3D il faut bien définir votre cible. Souvent des sociétés s’engagent dans de longs et coûteux projets de développement informatique pour découvrir que… personne n’utilise la solution implantée sur leur site ou que le taux de téléchargement du logiciel configurateur est faible voir inexistant. Voici les grands types de clients et une estimation de l’utilité qu’un configurateur 3D peut avoir pour eux:
Effet: Quasi-nul à nul. Raisons: Les architectes et autres prescripteurs intègrent dans un projet donné des centaines de produits et matériaux différents. Il est tout simplement impossible pour un architecte ou tout autre prescripteur de « jouer avec » des centaines de configurateurs 3D – un pour chaque produit qu’ils veulent prescrire. Si vous destinez votre configurateur 3D aux architectes / prescripteurs vous risquez de vous trouver avec un taux d’utilisation très très faible. Les prescripteurs préfèrent largement pouvoir configurer votre produit au sein de leurs logiciels de CAO / BIM où ils peuvent aussi voir immédiatement l’impact sur le projet. Notre Conseil: Avant de lancer un projet de développement d’un configurateur 3D – Faites un sondage auprès des architectes et prescripteurs que vous connaissez et posez leur une seule question: Préférez-vous un configurateur 3D en ligne ou des objets paramétriques pouvant s’intégrer dans votre logiciel CAO / BIM favori? Il est facile d’imaginer leur réponse…
Workflow pour un prescripteur utilisant un configurateur 3D:
Workflow pour un prescripteur utilisant un catalogue CAO / BIM:
Lequel des deux workflow vous semble le plus rapide et le mieux adapté aux besoins de vos prescripteurs?
Effet: moyen à inexistant. Raisons: Si votre produit est vendu aux particuliers un configurateur 3D de vos produits peut les intéresser uniquement s’il fait parti ou est intégré dans un planner 3D qui leurs permettra non seulement de configurer mais aussi de le placer dans leur projet. Il faut comprendre que la plupart de ces logiciels (qu’ils soient en ligne ou pas) nécessitent une certaine compréhension et maîtrise qui n’est pas si évidente pour une bonne partie de la population. En effet, contrairement aux professionnels qui ont l’habitude de travailler avec des outils 3D peu de gens peuvent lire et comprendre un plan. Et si vos objets ont 5 paramètres ou plus, l’expérience risque d’être un peu menaçante. Il faut aussi prendre en compte la rapidité de votre site et la connexion Internet de l’utilisateur. En somme, un utilisateur a besoin de beaucoup de patience pour « bidouiller » un configurateur 3D et il faut absolument qu’il puisse « profiter » de ce temps passer devant votre logiciel. S’il s’agit juste d’une visualisation de votre produit dans les bonnes mesures et dimensions cela ne suffira pas. Il faut que votre configurateur 3D permette au moins de se faire une idée du prix du produit configuré, passer une commande, télécharger le dessin, ou pouvoir intégrer le produit dans une photo ou un plan (planner 3D).
Effet: Positif. Raisons: Les installateurs et entreprises générales du bâtiment sont une cible idéale pour un configurateur 3D tant que le logiciel ne nécessite pas une formation trop longue (sans importance si ces installateurs ne travaillent qu’avec vos produits et n’ont pas vraiment le choix). En règle générale votre configurateur 3D sera utilisé (et rentable) uniquement s’il facilite et accélère le travail de l’installateur. L’attachement d’un module de création de devis est absolument indispensable lorsque votre configurateur est destiné aux installateurs.
L’investissement dans un configurateur 3D peut s’avérer assez lourd dans certains cas. Il est évident qu’aujourd’hui, un fabricant de produits et matériaux pour l’architecture a besoin d’avoir un catalogue CAO et BIM. Une des façons les plus simple pour faire des économies sur la réalisation d’un configurateur 3D est d’utiliser les modèles de votre catalogue CAO. Si vous avez identifié une demande auprès de vos clients particuliers et installateurs – La réalisation d’un configurateur peut être rentable, surtout si ce configurateur est lié à un système de réalisation de devis. Les bons configurateurs 3D coutent au moins 100,000 euros selon nos estimations. La seule et unique question à vous poser : dans combien de temps vais-je rentabiliser cet investissement?
Conseil : Toujours demander aux futurs utilisateurs leur avis et conseils avant de s’engager sur un projet de configurateur 3D! Faites une enquête et vous allez être étonnés à quel point ils vont vous guider dans la bonne direction. Ne faite jamais réaliser un développement sur un « coup de tête » ou parce que vos concurrents l’ont sur leur plateforme. Peut-être qu’ils se sont plantés et vous êtes en train de les suivre!
Sans aucun doute, la meilleure façon de créer un configurateur 3D qui répondra bien à vos besoins c’est d’engager un développeur qui travaillera au sein de votre société et qui construira un configurateur pour vos clients particuliers et installateurs – taillé sur mesure. Ce configurateur 3D pourra alors « parler » avec vos CRM ou logiciels de devis comme Sage ou ProDevis. Bien évidement, il existe des sociétés qui réalisent des configurateurs qui ont des solutions plus ou moins « clé en main » mais attention à ne pas faire de compromis sur vos besoins et surtout assurez-vous qu’ils seront capables d’intégrer vos objets du catalogue CAO dans leur solution – payer deux fois la modélisation de vos produits n’est pas une très bonne idée…