ECOCEM – société Irlandaise spécialisée dans la production de ciment écologique – a décidé de franchir le pas du BIM en mettant en avant certaines de ses solutions présentées selon deux applications : la structure et la façade.
Ce projet se distingue des autres du fait de la particularité des produits proposés puisque cette entreprise est spécialisée dans le ciment écologique. Ce ciment est en effet fabriqué à partir de laitier moulu utilisé principalement comme liant hydraulique, dans les ouvrages en bétons courants, techniques ou à faible empreinte carbone.
Ecocem propose une solution mettant en avant les données techniques propres à ses produits. Pour Ecocem, la valeur ajoutée du BIM réside dans les informations contenues dans les objets modélisés.
A travers les systèmes Ecocem modélisés, Polantis a valorisé l’information des solutions Ecocem qui sont réputées pour leurs performances techniques et considérées comme de véritables solutions écologiques.
A l’heure de la COP21, des RT, BEPOS impactant la construction, une carte est à jouer pour Ecocem. Avec son offre, l’industriel anticipe les nouvelles réglementations qui doivent limiter les CO2 incorporés dans la construction.
Ces évolutions couplées au BIM sont autant de raisons qui ont poussé la mise en place du BIM chez ECOCEM. Parmi ces raisons on retrouve également la possibilité de mettre en avant ses solutions et de faire connaître sa marque. Cette entreprise est d’ailleurs présente dans des domaines très variés allant du bâtiment au génie civil (projets SNCF, par exemple).
Les solutions Ecocem pouvant être associées à d’autres produit d’industriels comme Cemex Bétons, cela donne une liberté aux BE de combiner les performances produit de ces éléments pour des projets sur lesquels ils travaillent. Cela leur permet aussi d’avoir une solution la plus adaptée possible mais aussi qui correspond aux contraintes réglementaires auxquelles ils peuvent faire face.
A travers les solutions listées ci-dessous, Ecocem a priorisé les solutions dédiées aux bâtiments :
A ces solutions sont associés des propriétés physiques, thermiques et environnementales exploitables dans les projets BIM ainsi que des facteurs différenciant des produits Ecocem. L’entreprise est réputée depuis des années pour ses produits béton vert ainsi que pour les bénéfices qui en résultent.
C’est donc ces bénéfices produit, tant au niveau écologique qu’au niveau des performances pures, qu’Ecocem veut proposer à ses prescripteurs au travers de ces objets BIM afin de se démarquer de la concurrence.
Vous pouvez retrouver les produit Ecocem sur Polantis en cliquant ici.
Pour en savoir plus sur Ecocem cliquez ici.
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En juin 2015, Polantis, leader mondial de la création de contenu CAO et BIM, ouvrait un bureau à Düsseldorf.
Deux ans plus tard, Polantis a enrichi sa collaboration avec ses clients allemands (Reckli, Kronimus, Alucobond, Vinylit et Villeroy & Boch) et a poursuivi le développement de la société sur le territoire avec l’acquisition de nouveaux clients emblématiques tels que Kaldewei, Rheinzink, Warema ou encore Bonava.
C’est donc forte de son succès que la société s’agrandit en accueillant deux nouveaux collaborateurs afin de confirmer son statut d’acteur incontournable du BIM en Allemagne et d’accompagner les fabricants et les prescripteurs.
Pour contacter Polantis, pour rencontrer l’équipe à Dusseldorf : cliquez ici.
POLANTIS Deutschland – Österreich – Schweiz
Fritz-Vomfelde-Str. 34
D-40547 Düsseldorf
Deutschland
Tel.: +49 (0)2132 9792462
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A la demande des convives, Arnaud Désirée a fait un point sur le BIM et sa définition. Arnaud axe ses explications sur les avantages du BIM. La possibilité offerte par la méthode BIM est avant tout de pouvoir modifier les maquettes numériques si besoin. Cela permet de corriger au mieux une maquette numérique mais aussi d’optimiser les échanges. Arnaud revient également sur l’aspect collaboratif induit par la méthode BIM. Elle permet de travailler en direct sur le projet aussi bien au moment de la conception que durant la phase d’exécution. Le fait de pouvoir travailler en direct « réduit la segmentation sur le workflow d’un projet ». C’est un phénomène où « tout le monde est acteur, il n’y a pas que les architectes ou les maitres d’ouvrage ». Il ajoute d’ailleurs que sur un chantier, il est de plus en plus important d’avoir une visibilité 3D puisque cela permet d’avoir une communication plus concrète.
Le projet Nice Méridia par laisné roussel
Ce projet d’immeuble de bureaux avec terrasses & activités verra le jour en 2018 dans la technopole urbaine de Nice Méridia. Conçu sur 8 niveaux de plateaux à ciel ouvert, il est en continuité avec l’extérieur : notamment grâce aux nombreux balcons, terrasses, et à la végétalisation ponctuelle sur l’ensemble de la façade.
Arnaud précise : « Au début, ce projet n’était pas censé se faire en BIM, c’était un projet classique ». L’initiative de faire ce projet en BIM est une réaction au nombre grandissant de projets et concours exigeant le BIM. Laisné Roussel a donc eu recours aux compétences de BIM Manager d’Arnaud Désirée pour former Marie-Aglaé Boukouvalas, chef de projet pour Nice Méridia. Arnaud raconte que Marie-Aglaé ayant des facilités, elle a pu maîtriser le logiciel et intégrer la méthode de travail en 4 mois, ceci pouvant parfois prendre plus de temps.
Le BIM oui, mais à quel niveau ?
Lorsqu’on lui pose une question concernant le niveau BIM du projet, Arnaud explique qu’avec le BIM niveau 1, il convient de modéliser une partie du projet, en BIM niveau 2, on modélise la maquette et la met sur une plateforme collaborative. Quant au niveau 3, il est intégré puisque tout le monde travail en temps réel sur la maquette.
Mais qui décide de travailler en niveau 2 ou en niveau 3 ? « Les maitres d’ouvrage imposaient le niveau 2 ou le niveau 3 mais il a été constaté que tout le monde n’est pas équipé pour atteindre le niveau 3 ». Aujourd’hui, les acteurs de la construction travaillent en majorité en niveau 2.
Quid de l’utilisation des objets BIM
Après avoir travaillé la phase esquisse et intégré sommairement les familles d’objets à son projet, l’architecte se penche sur les caractéristiques techniques et apprécie (selon ses habitudes) de travailler avec de vraies références et de vrais matériaux pour avoir un ajustement du projet optimal. Arnaud explique que, par exemple, pour une demande de mobilier précis de la part du client, un architecte peut consacrer une journée à la modélisation d d’un objet réel en prenant l’exemple d’une chaise de designer.
Le déploiement du BIM
Les professionnels qui ne se « mettent pas » au BIM manque souvent de maîtrise selon Arnaud Désirée : « La jeune génération a appris à concevoir par informatique et la génération qui arrive est instinctivement utilisatrice du BIM. Les anciens ont pour la plupart peur d’une perte de productivité générée par le temps d’apprentissage et l’investissement généré par le passage au BIM ».
Arnaud ajoute : « Avec le BIM les gens doivent travailler en équipe et communiquer » et les entreprises ne sont pas toutes prêtes à cela. Il précise que de grosses entreprises commencent à s’y mettre mais que, par exemple, les petites entreprises qui font des aménagements d’intérieur ne sont pour l’instant sollicitées que pour consulter la maquette numérique. Pour le moment on demande aux acteurs les moins concernés « de savoir lire et interpréter une maquette ».
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Gonçalo présentait Silex2, un projet d’IGH et d’ERP de bureaux dans le quartier de la Part-Dieu à Lyon pour la Foncière des Régions né de la collaboration entre Arte Charpentier et Ma Architectes.
« Beaucoup d’efforts quotidiens et la gestion d’une grande quantité d’informations »
Dès le début de la présentation, Gonçalo insiste sur l’importance de sortir de l’agence pour – dans un premier temps – se former au BIM et ensuite rester au plus près de l’actualité et des avancées sur le sujet.
La présentation s’est déroulée dans l’ordre suivant :
• Les bases du BIM
• L’intégration du BIM chez Arte Charpentier
• Le projet Silex 2
• Les défis et les enjeux du BIM
Selon Gonçalo, le BIM sert d’abord à optimiser les échanges pour réduire les redondances et préciser les modèles, cette méthode de travail permet de proposer des projets plus complets.
L’intérêt du BIM est maximal sur le chantier et en phase gestion. Il y a plusieurs niveaux de maturité : le BIM 0, 1, 2, 3, etc. Ce niveau dépend de l’implication des acteurs dans le BIM et de leur niveau de maturité.
Chez Arte Charpentier, cette méthode de travail est adoptée depuis 2013. Aujourd’hui, c’est 25 projets qui sont menés en BIM niveau 1 ou 2.
A noter que chaque programme (logements, bureaux, hôtel, centres commerciaux, etc.) implique un gabarit et une méthodologie différents
Gonçalo insiste : « Dans la théorie, lorsque l’on vous parle de BIM, vous voyez de superbes images mais pas forcément ce qui est mis en place derrière, le BIM c’est beaucoup d’efforts quotidiens et la gestion d’une grande quantité d’informations. »
Le projet Silex2
La présentation s’oriente naturellement sur Silex2. Il s’agit d’un projet d’extension et de réhabilitation d’une ancienne tour EDF datant des années 70 et amiantée.
L’initiative de mener ce projet en BIM vient d’Arte Charpentier et du Maître d’Ouvrage, La Foncière des Régions.
Ma Architectes garde la main sur la direction artistique et – afin de modéliser la tour et d’échanger en BIM – les équipes se sont formées à la maîtrise de Revit.
Arte Charpentier prend en charge la mission de coordination entre différents corps d’état ( la partie ERP, paysage, la partie socle – tous les interfaces -).
Pour travailler, Gonçalo et son équipe ont appelé toutes les maquettes dans un même modèle conçu par l’agence : fluides, cuisinistes et structures.
Il dit : « Par rapport à une démarche traditionnelle, la maquette permet d’accéder en un clic à tous les plans, coupes, élévations. C’est la possibilité de repérer tous les points problématiques dès la phase étude et de savoir à l’avance où sont les problèmes pour les régler en amont. Avec la maquette, on a accès à toutes les informations, par exemple : dans le cas d’une terrasse avec des décaissés d’étanchéité, il peut y avoir des problèmes de murs qui se plient etc… En méthode traditionnelle vs le BIM, le problème n’était jamais réglé en études parce que les vues ne le permettaient pas. »
Une question est posée : « Aujourd’hui, on sait mesurer le coût de la construction lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle. Fait-on de réelles économies avec le BIM ? »
L’expérience de Gonçalo permet de répondre : « En phase étude, nous avons travaillé en traditionnel sur un projet avec la même surface et les mêmes caractéristiques que Silex2. Sur Silex2, à un certain moment, nous avons décidé que chaque étage devait descendre d’1 cm : nous avons mis 1 jour et demi pour mettre la maquette à jour et tous les documents qui en découlaient.
Pour une modification semblable sur le projet comparatif, nos collègues encore en Autocad ont pris 3 semaines pour faire ce changement. »
Gonçalo temporise : « toutefois, je ne veux pas faire la pub du BIM : les collaborateurs qui ont travaillé sur l’abaissement des étages on au minimum 3 ans d’expérience en BIM : la maquette était assez optimisée pour permettre ce changement rapidement ».
L’avantage du BIM étant d’abord de permettre une grande flexibilité et de la réactivité car les architectes restent « des artistes qui ont tendance à tout remettre en question ».
Les défis et les enjeux du BIM
Lors de la présentation, une question porte sur la place des économistes.
Selon Gonçalo, l’économiste peut avoir accès à la maquette et il peut exploiter ce matériau car il y a des logiciels pour passer d’un modèle de maquette à Excel. Cependant il est évident que son rôle va changer et qu’il doit redéfinir sa façon de travailler avec l’architecte.
Le BIM n’a pas que des avantages et c’est la partie que Gonçalo développe le plus au cours de la présentation, en voici une liste non exhaustive :
– Lorsque l’on entre dans une démarche BIM : il faut des connaissances très poussée sur le projet. En effet : pour définir certaines choses, il faut que ce qui vient en amont et parfois en aval soit aussi décidé, on ne peut pas avancer dans le flou.
– Les méthodes de travail – en général – sont bouleversées, et ce qui est peu rigoureux n’est pas permis, il y a une remise en question des habitudes qui est à faire.
Gonçalo conclue : « Comme nous sommes aux prémices du BIM, nous avançons par tâtonnement : on ne sait pas exactement vers où on va et tout le monde fonctionne à sa façon, ce qui est normal. L’important est d’avoir les yeux ouverts pour savoir se diriger et d’être attentif aux avancées des autres. »
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EDIT : L’App est maintenant compatible avec Revit 2018.
Cliquez ici pour y accéder.
Désormais, les utilisateurs de Revit disposent d’un bouton Update permettant d’obtenir en temps réel les dernières mises à jour effectuées dans la partie Informations (texte) de chaque objet.
Si tôt que le fabricant a ajouté ou modifié des paramètres (normes, caractéristiques, informations produits, coordonnées), l’utilisateur voit l’objet BIM actualisé au sein de sa bibliothèque Revit ainsi que dans la maquette numérique de son projet.
Pour rappel, les fonctionnalités suivantes sont toujours disponibles dans cette deuxième version :
– Télécharger directement des objets depuis Revit pour trouver l’ensemble des objets aux format .rvt et .rfa en un clic, sans changer de fenêtre.
– Accéder directement aux objets classés par fabricant.
– Accéder directement aux textures classées par fabricant.
– Depuis l’objet sélectionné dans le logiciel, accéder directement à la page contenant l’ensemble de ses informations.
– Accéder directement à la page d’accueil de Polantis ou revenir au dernier objet consulté.
Pour télécharger directement des familles d’objets dans votre projet Revit, accédez à l’App Polantis, en cliquant ici.
Si vous avez des remarques ou des suggestions pour améliorer toujours plus l’App Polantis, nous sommes à votre écoute. Contactez nos équipes en cliquant ici.
Olivier présentait trois projets architecturaux menés en BIM par son agence : depuis 1996 tous les projets sont conçus avec ArchiCAD.
Jeudi Prescription #1 avec Olivier Celnik
Il n’y a pas une parole unique sur le BIM
En introduction de la présentation, Olivier Celnik indique que les projets présentés sont d’abord un prétexte pour parler du BIM et que, de la même manière qu’il n’y a pas une parole unique sur l’architecture, il n’y a pas une parole unique sur le BIM mais plusieurs points de vue et expériences.
Après la présentation d’une étude quantitative sur la perception du BIM par les futurs architectes réalisée par Olivier Celnik auprès d’étudiants de l’ENSA Versailles, le premier projet a été abordé.
ROUEN : réhabilitation lourde d’un immeuble tertiaire des années 30, 2 équipes d’architectes dont Z.STUDIO, 2 équipes d’ingénieurs (thermiciens et structure)
Ce projet de restructuration d’un immeuble de bureaux a débuté avec la modélisation de l’immeuble « pour y voir plus clair » : Olivier Celnik précise « Nous avons réalisé la maquette numérique du projet à partir du plan papier, il a fallu compter 10 à 15 jours équivalent homme soit 3 € du mètre carré pour ce bâtiment de 5000 m² ».
En présentant à l’auditoire des vues ArchiCAD du projet, Olivier Celnik explique « Comment imaginer une solution architecturale sans comprendre ? Nous partons du principe que sans vue 3D on ne comprend rien au bâtiment, ici on parle de BIM car la maquette contient toute l’intelligence et la précision du bâtiment » et il illustre son propos avec l’exemple de l’élévateur installé à l’entrée du bâtiment pour garantir l’accès PMR.
Même en phase esquisse, l’équipe projet a pris soin d’installer un élévateur issu du catalogue d’un industriel (dans le sens où les dimensions et normes sont conformes à la réalité) pour s’assurer que le bureau d’études saurait l’installer et pourrait le placer à cet endroit précis du projet. Olivier ajoute « Si je vais chercher cet objet dans la bibliothèque d’ArchiCAD et que je prends un objet dessiné en Hongrie ou en Inde, je vais me retrouver avec un objet aux normes locales et sûrement pas avec un produit que je puisse intégrer à un projet rouennais ».
Cette démarche permet aux architectes – dès la phase initiale – d’avoir des certitudes sur les solutions architecturales proposées et sur le coût du projet.
Le BIM permet aussi une grande flexibilité, on peut changer rapidement le projet lorsque l’on travaille avec une maquette pour répondre aux exigences des clients.
La maquette est utilisable par tous les acteurs du projet : les plans, schéma, PDF, etc. qui leur sont communiqués sont tous issus de la même maquette numérique pour limiter le risque d’erreur.
CAZAUX : construction d’un bâtiment neuf, centre de formation de 3000 m2, Z.STUDIO architecte et mandataire
Ce deuxième projet est pour Olivier l’occasion de parler de la notion de collaboration.
L’ingénieur associé au projet ne travaillait pas en BIM mais il a quand même participé à la démarche collaborative en travaillant – avec Google Sheet – sur des documents issus de la maquette numérique. Ce dernier et les architectes ont pu viser le même document en travaillant en ligne. Olivier en tire une leçon : « Si on attend que tout le monde soit au même niveau concernant le BIM, on n’avance pas : il faut savoir s’adapter au niveau de chacun et proposer des solutions adaptées pour que tous tirent profit de la maquette et de l’information associée au projet ».
Par exemple, une solution est de considérer que les pièces contractuelles seront uniquement des documents issus de la maquette numérique sans intervention ultérieure – c’est de cette manière que les équipes d’Olivier aident certains Maîtres d’Ouvrage à rédiger des appels d’offres BIM – et en sus, on peut donner la maquette pour un usage consultatif.
Cet entre-deux correspond aux réalités des pratiques aujourd’hui et ne bouleverse pas les interlocuteurs qui ne sont pas encore « BIM ready ».
BREST : construction d’un bâtiment neuf, tertiaire de 5000 m2, Z.STUDIO intervient sur le processus BIM et la modélisation aux côtés des architectes et ingénieurs concepteurs du projet
Le dernier projet permet à Olivier de faire la démonstration des outils mis à disposition de tous les acteurs du bâtiment pour travailler autour de la maquette. Au-delà de l’étape de conception, l’intérêt du BIM est d’échanger plus simplement et plus précisément.
Pour ce faire, la maquette du bâtiment a été exportée en IFC depuis le logiciel de conception et ouverte sur le viewer gratuit BIM+.
Les équipes d’Olivier proposent au client, aux entreprises, etc. de visualiser ainsi le projet et de faire des suggestions et modifications en temps réel : le logiciel ne demande pas beaucoup de puissance de la part de l’ordinateur et la navigation dans le projet est facile pour que tous les acteurs « jouent le jeu ».
Olivier montre comment il peut annoter son projet et créer des « sujets » identifiés comme émanant de lui et pouvant être lus par l’ensemble des acteurs : tel type de fenêtre doit être changé, la couleur de la façade doit être modifiée aussi, attention à bien prendre en compte la présence de tel poteau porteur, etc.
« La mission est remplie »
Olivier conclue cette matinée en mettant l’accent sur le pragmatisme « si grâce à l’utilisation du BIM, on arrive à fiabiliser les coûts et les délais, si a la réception de l’ouvrage on n’est pas trop éloignés en temps et en coût de ce que demande l’appel d’offres, on se dit que la mission est remplie, qu’on a limité les risques ».
A la fin de la présentation d’Olivier, les convives ont interrogé l’architecte longuement : quels sont les critères de choix des objets à intégrer dans une maquette ? Quel est l’état d’avancement du BIM sur le terrain ? Est-ce qu’il y a de fortes disparités en Paris et les régions ? Est-ce que les industriels doivent installer des logiciels BIM chez eux ? … »
Une remarque commune à tous les convives : Olivier a su plonger l’assistance dans la réalité de ses projets menés en BIM en mettant l’accent sur des cas pratiques et concrets, loin des idées reçue sur le BIM et en rassurant ceux qui n’ont pas encore intégré le BIM à leur quotidien.
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Polantis, acteur incontournable du BIM, exposera à BIM World 2017, pour présenter son actualité, son offre de modélisation et bien sûr pour rencontrer les visiteurs du salon.
L’année dernière, des Ateliers E-Catalogues avaient été mis en place sur le stand de Polantis, ils avaient rencontré un franc succès puisque de nombreux visiteurs avaient assisté à la présentation et interrogé les intervenants sur leur démarche BIM, la confection de leurs objets et la façon dont ils étaient utilisés dans les maquettes numériques par les différents acteurs d’un projet.
Cette année, Polantis propose de nouveau les Ateliers E-Catalogues en accès libre sur le stand 118-119 avec les interventions suivantes :
– 29/03, 10h30 : présentation du catalogue BIM d’AkzoNobel par Nadia Rouquette, Specification Manager France
– 29/03, 14h30 : présentation du catalogue BIM de Sika par Hélène Alonso, Responsable Marketing
– 30/03, 10h30 : présentation du catalogue BIM de Lafarge par Alain Birault, Directeur Prescription Nationale
– 30/03, 14h30 : présentation du catalogue BIM de VMZINC par Céline Vandaele, Responsable Support Ventes Architecture et Projets Internationaux
– 30/03, 16h00 : présentation du catalogue BIM de Velux par Chloé Brismontier, Market Manager
Ces industriels raconteront leur arrivée dans le BIM, leur vision de la modélisation des objets et la façon dont ils ont travaillé avec Polantis.
Les Ateliers se dérouleront sur la base de la présentation des objets et seront suivis d’une séance de questions-réponses avec les visiteurs.
Bertrand Gasnier, Directeur commercial de Polantis, complètera ces présentations avec la vision Polantis de chaque cas.
Les démarches présentées sont toutes différentes mais motivées par une envie commune : servir tous les acteurs du projet, à commencer par les architectes.
A prévoir aussi, la modélisation d’objets BIM en live par les architectes de Polantis
Nos architectes travailleront en direct sur la modélisation d’objets BIM, ils seront à votre disposition pour répondre à vos questions.
Afin de venir assister à ces Ateliers E-Catalogues, nous mettons à votre disposition un pass nominatif* d’une valeur de 50 € pour assister aux 2 jours du salon : accédez à l’espace Inscription de BIM World 2017 en cliquant ici et entrez le code EXB8727
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La marque VOLUMIC est née de la passion et du savoir-faire en 3D de ses 2 fondateurs. Plus de 20 années passées dans la visualisation et l’ingénierie 3D jusqu’au choc du premier contact avec les procédés de l’impression en 3D. Un passage du virtuel au réel, avec un réel qui dépasse les limites de l’imagination et des matériaux…
VOLUMIC a ainsi conçu et fabriqué les premières imprimantes 3D Françaises de bureau. Le but de cette démarche est d’apporter une vision et une approche de l’impression 3D focalisée sur les réels besoins de l’industrie et des professionnels.
Rapides, précises et multi-matériaux, les Imprimantes 3D Stream de VOLUMIC permettent notamment d’imprimer des objets dans plus de 40 matériaux différents avec un niveau de précision et de vitesse parmi les meilleurs du marché.
En 3 ans, les imprimantes 3D Volumic se sont imposées auprès des professionnels comme une référence dans le cadre du prototypage rapide, la réalisation de pièces de remplacement, la réalisation de pièces sur mesure, etc… Leur finition, leur esthétique et leur positionnement commercial leur confèrent un caractère incontournable sur le marché.
Pour en savoir plus sur Volumic : cliquez ici.
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Premier fabricant mondial de zinc destiné à la construction, Rheinzink fait partie du groupe industriel Grillo et emploie plus de 700 personnes. Depuis plus de 45 ans, le groupe produit du zinc-titane de très haute qualité en diverses qualités de surface.
Rheinzink propose une large gamme de textures zink pour la couverture, le bardage et l’évacuation des eaux pluviales de toit classique par des gouttières et tuyaux.
C’est Holger Hahn, Directeur des Opérations en Allemagne, qui a piloté le projet avec les équipes allemande de Rheinzink. Il a été convenu de modéliser 47 textures et un kit 3D (10 objets qui font partie des systèmes d’évacuation des eaux pluviale).
Angled Standing Seam (Facade vertical, prePATINA graphite grey)
Les premières textures modélisées sont en ligne depuis début janvier, les autres produits suivront dans les prochaines semaines.
Rheinzink a fait le choix de modéliser ses produits pour les formats BIM (Revit et Archicad) ainsi qu’au format d’échange IFC, ils ont aussi été modélisés pour être compatibles avec la plupart des logiciels CAO.
Rheinzink travaillant principalement avec l’Allemagne, la France et l’Angleterre, les fichiers seront disponibles dans les trois langues afin de servir un maximum d’utilisateurs.
Vous pouvez retrouver les produits Rheinzink sur Polantis en cliquant ici.
Vous pouvez aussi retrouver les produits Rheinzink directement sur le site du fabricant en cliquant ici.
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Une formation pour le bureau de contrôle Socotec animée par Bertrand Gasnier
L’offre de formation est orientée autour de la prescription architecturale à l’heure du BIM.
Polantis propose des sessions de :
Le contenu et les objectifs de la formation sont définis sur mesure avec les équipes du département formations. Nous pouvons organiser des sessions tout au long de l’année, à votre convenance.
Nos formateurs :
Itaï Cellier, PDG et Fondateur de Polantis – Il rédige un blog de référence sur la question du BIM (polantis.info) et anime régulièrement des tables rondes en France et à l’International (Conférences BIM de l’AIMCC, interventions à Innovative Building, interventions au sein de Mediaconstruct dans le collège Éditeurs d’objets BIM, etc.). Itaï Cellier anime aussi des séminaires pour les industriels de la construction et les maîtres d’ouvrage depuis 2013 pour le compte de sa société, Polantis.
Bertrand Gasnier, Directeur Commercial et Associé chez Polantis – Il partage son temps entre son activité commerciale auprès de grands comptes tel que Lafarge, Saint-Gobain et AkzoNobel et son activité de formateur. Dans le cadre d’un partenariat avec le bureau de contrôle Socotec (Régions Centre et Rhône-Alpes), il anime chaque trimestre des sessions de formation auprès d’un large public de professionnels de la construction. Bertrand a aussi animé des formations pour plusieurs industriels clients de Polantis (Alucobond, France Fermeture, Huet, Arconic).
Polantis est enregistré sous le numéro 11755537875 auprès du préfet de région d’Ile-de-France.
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